Mais le film de Yann Arthus Bertrand n’est pas qu’un vibrant réquisitoire contre le réchauffement climatique, c’est aussi une belle leçon d’optimisme, si et seulement si nous mesurons pleinement le danger et agissons en conséquence.
En arrêtant le massacre, nous pouvons donner une nouvelle vie à notre planète bleue et conjurer les guerres du futur ; lesquelles guerres se feront autour des ressources qui se feront de plus en plus rares. Le Moyen Orient nous donne un aperçu des premières escarmouches sanglantes pour le contrôle de l’or blanc, lisez l’eau.
Il est certes difficile quelques jours après sa diffusion de mesurer l’impact du film sur les opinions publiques du monde. Mais en Europe, suite aux bons résultats de la coalition « Europe-écologie », coiffant largement au poteau les partis strictement de gauche lors des élections européennes de Dimanche, on s’interroge sur un éventuel effet Home.
La vérité c’est que les écologistes ne sont plus perçus comme des hurluberlus rêvant à un Eden mythique ou des primitifs dont le discours « donne envie de marcher à quatre pattes ». Il devient de nos jours essentiel de parler de l’environnement dans tout programme politique qui se respecte.
Haïti figure en bonne place dans le film comme un des espaces en détresse et qui interpelle la conscience de tous. Une question soulevée souvent « sans détour » par notre collaboratrice Nancy Roc dans les colonnes de ce journal.
Et la mobilisation de la société civile qui monte en puissance cet été, est une occasion pour chaque citoyen de s’engager pour stopper la descente aux enfers de l’espace haïtien.
Le temps est donc à l’action et aux initiatives énergiques des pouvoirs publics, car « il est trop tard pour être pessimiste », comme l’affirme dans un merveilleux paradoxe l’auteur du film.
Comme pour dire à l’instar de Camus « qu’il faut imaginer Sisyphe heureux » et ne pas ainsi désespérer d’une tâche qui relève de la survie de tous.
Mais le film de Yann Arthus Bertrand n’est pas qu’un vibrant réquisitoire contre le réchauffement climatique, c’est aussi une belle leçon d’optimisme, si et seulement si nous mesurons pleinement le danger et agissons en conséquence.
En arrêtant le massacre, nous pouvons donner une nouvelle vie à notre planète bleue et conjurer les guerres du futur ; lesquelles guerres se feront autour des ressources qui se feront de plus en plus rares. Le Moyen Orient nous donne un aperçu des premières escarmouches sanglantes pour le contrôle de l’or blanc, lisez l’eau.
Il est certes difficile quelques jours après sa diffusion de mesurer l’impact du film sur les opinions publiques du monde. Mais en Europe, suite aux bons résultats de la coalition « Europe-écologie », coiffant largement au poteau les partis strictement de gauche lors des élections européennes de Dimanche, on s’interroge sur un éventuel effet Home.
La vérité c’est que les écologistes ne sont plus perçus comme des hurluberlus rêvant à un Eden mythique ou des primitifs dont le discours « donne envie de marcher à quatre pattes ». Il devient de nos jours essentiel de parler de l’environnement dans tout programme politique qui se respecte.
Haïti figure en bonne place dans le film comme un des espaces en détresse et qui interpelle la conscience de tous. Une question soulevée souvent « sans détour » par notre collaboratrice Nancy Roc dans les colonnes de ce journal.
Et la mobilisation de la société civile qui monte en puissance cet été, est une occasion pour chaque citoyen de s’engager pour stopper la descente aux enfers de l’espace haïtien.
Le temps est donc à l’action et aux initiatives énergiques des pouvoirs publics, car « il est trop tard pour être pessimiste », comme l’affirme dans un merveilleux paradoxe l’auteur du film.
Comme pour dire à l’instar de Camus « qu’il faut imaginer Sisyphe heureux » et ne pas ainsi désespérer d’une tâche qui relève de la survie de tous.
Mais le film de Yann Arthus Bertrand n’est pas qu’un vibrant réquisitoire contre le réchauffement climatique, c’est aussi une belle leçon d’optimisme, si et seulement si nous mesurons pleinement le danger et agissons en conséquence.
En arrêtant le massacre, nous pouvons donner une nouvelle vie à notre planète bleue et conjurer les guerres du futur ; lesquelles guerres se feront autour des ressources qui se feront de plus en plus rares. Le Moyen Orient nous donne un aperçu des premières escarmouches sanglantes pour le contrôle de l’or blanc, lisez l’eau.
Il est certes difficile quelques jours après sa diffusion de mesurer l’impact du film sur les opinions publiques du monde. Mais en Europe, suite aux bons résultats de la coalition « Europe-écologie », coiffant largement au poteau les partis strictement de gauche lors des élections européennes de Dimanche, on s’interroge sur un éventuel effet Home.
La vérité c’est que les écologistes ne sont plus perçus comme des hurluberlus rêvant à un Eden mythique ou des primitifs dont le discours « donne envie de marcher à quatre pattes ». Il devient de nos jours essentiel de parler de l’environnement dans tout programme politique qui se respecte.
Haïti figure en bonne place dans le film comme un des espaces en détresse et qui interpelle la conscience de tous. Une question soulevée souvent « sans détour » par notre collaboratrice Nancy Roc dans les colonnes de ce journal.
Et la mobilisation de la société civile qui monte en puissance cet été, est une occasion pour chaque citoyen de s’engager pour stopper la descente aux enfers de l’espace haïtien.
Le temps est donc à l’action et aux initiatives énergiques des pouvoirs publics, car « il est trop tard pour être pessimiste », comme l’affirme dans un merveilleux paradoxe l’auteur du film.
Comme pour dire à l’instar de Camus « qu’il faut imaginer Sisyphe heureux » et ne pas ainsi désespérer d’une tâche qui relève de la survie de tous.