Dépourvue de raison et de scrupules, la presse haïtienne est en train de s’attribuer le sale rôle que jouaient les forces armées d’Haiti autrefois dans le cadre des élections haïtiennes. Le rôle de faiseur de rois. Plus puissante que le CEP , la presse, contrôlée par l’oligarchie affairiste et flibustier, choisit brutalement et grossièrement Jovenel Moise au détriment des électeurs.
Toute honte bue, certaines stations de radio dont Signal FM, ont exercée de fortes pressions psychologiques sur les auditeurs pour les porter a à accepter la folle idée que le PHTK à tout raflé et que c’était fini.
Une certaine journaliste de cette station a même atteint l’orgasme en direct après s’être longtemps masturbée à l’aide de son micro qu’elle devait honteusement confondre avec un "fallus."
Triviale, sans éthique ni décorum, celle-ci s’est vantée de vouloir trouver sur sa ligne le directeur de l’EDH pour que celui-ci s’explique sur la coupure électrique constatée le jour du vote. Avec une arrogance teintée de moquerie, cette journaliste s’est laissée aller comme le goulu d’une bouteille trop plein.
A ses côtés , deux énormes médiocres qui prêchaient subtilement un évangile indigeste selon Jovenel Moise. L’un d’entre eux s’était vu renvoyer par une autre station où il travaillait au par-avant pour vol de payroll. Et dire qu’il est instable.
Que de torts cette presse n’a t-elle pas déjà causé au pays. Hélas ! Tout compte fait, il n’existe pas de société sans presse. Mais quand celle-ci devient nuisible, méchante et destructrice, elle doit se préparer a toute éventuelle journée de cristal.
Guerby Dujour.