Selon les protestataires qui réclamaient la libération de leurs camarades, cette construction devrait être financée par le Japon à hauteur de 10 millions de dollars américains.
Mais l’Etat a seulement pour charge de leur fournir un terrain, a précisé l’un des manifestants joint par téléphone.
« Nous n’entendons pas lâcher prise. Nous manifestons jusqu’à ce que nous obtenions satisfaction », dit Josué Mérilien qui était parmi les contestataires.
Vraisemblablement, les manifestants arrêtés ont été conduits au commissariat de Port-au-Prince.